Alimentation vivante

Pour rester en bonne santé, notre corps doit se nettoyer, se détoxiquer et se régénérer en permanence.

Des milliers de cellules meurent et naissent à chaque seconde; certaines parties du corps sont ainsi entièrement renouvelées en quelques jours, d’autres en quelques années. Il est donc nécessaire que la qualité de la nourriture apportée au corps attribue à la qualité de nos cellules.

Certes, ce n’est pas uniquement l’alimentation qui influence la régénération de nos cellules, mais également l’air, nos émotions, nos pensées, notre sommeil et notre style de vie jouent un rôle essentiel. Mais la qualité de notre alimentation est un facteur essentiel de vitalité et de santé : une alimentation vivante est le premier pas vers une meilleure santé.

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Au fil des années, les recherches en épidémiologie et en nutrition ont permis de dégager trois dimensions des aliments qui influencent particulièrement la santé des consommateurs : la composition nutritionnelle, le degré de transformation et la présence de contaminants, notamment de résidus de pesticides. Informer sur les effets des aliments est devenu une priorité.

Si chacune de ces dimensions peut influencer la santé, aucune ne résume, à elle seule, la « valeur santé » globale des aliments. Pourtant, on entend parfois affirmer que le fait d’être « non ultra-transformé » suffirait à garantir une qualité nutritionnelle favorable à un aliment. D’autres vantent la qualité nutritionnelle, réfutant les dangers de l’ultra-transformation et des additifs. L’effet de « halo » du bio est quant à lui parfois utilisé pour donner une image globalement « santé » à un produit gras, sucré ou salé. Mais même bio, le produit reste gras, sucré ou salé !

Compte tenu de leurs enjeux de santé publique, comment peut-on informer au mieux les consommateurs sur l’ensemble de ces différentes dimensions santé des aliments ? Quels sont, à l’heure actuelle, les indicateurs les plus fiables scientifiquement ?

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Alcool

Plus de 41 000 décès attribuables à l’alcool ont été observés en France en 2015, soit 9% de l’ensemble des décès.

La plupart du temps, l’abus d’alcool est associé à l’ivresse ou l’alcoolo-dépendance. Mais cette attitude caricaturale permet de stigmatiser certains comportements tout en se donnant des excuses pour justifier sa propre consommation. Pourtant, l’alcool devient problématique avant l’ivresse.

La France reste parmi les plus gros consommateurs dans le monde avec en moyenne 15,6 litres d’alcool pur par an et par habitant, soit environ 173 bouteilles de vin ou 1 180 canettes de bière.

L’héritage culturel, la tradition familiale, l’attachement au terroir ou aux réunions « viriles » sont bien souvent appelés en renfort pour justifier une consommation que l’on juge raisonnable. « Cela ne peut pas être mauvais, je ne bois que du bon vin » ou « Je ne bois jamais trop puisque je ne suis pas ivre »… Cette minimisation des dangers rend difficile les messages de prévention, pourtant aujourd’hui la vérité ne souffre d’aucun doute : l’alcool est dangereux même si on n’en ressent pas les effets, même si on n’est pas ivre ou dépendant.

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Raffinage du sucre

Le sucre blanc raffiné est du saccharose et rien d’autre. Le saccharose pur est constitué d’une molécule de fructose et d’une molécule de glucose. Il s’obtient à l’aide d’une batterie de procédés complexes, physiques et chimiques.

Au terme de toutes ces opérations très complexes, le saccharose est ainsi isolé de tous les autres nutriments pour devenir un produit « chimiquement pur » répondant à la réglementation. Or, ces nutriments, éliminés telles des impuretés, sont des protéines et surtout des vitamines, minéraux et oligo-éléments (réservés, sous forme de mélasse, à la consommation animale).

Dépourvu de toutes ces qualités initiales, le saccharose devient un produit néfaste pour notre santé physique et psychique.

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Céréales

Tout généralement, le but principal du raffinage des aliments dont le raffinage des céréales est purement logistique: l’industrie alimentaire veut  prévenir l’altération de ces aliments, en supprimant des substances réactives et ainsi de pouvoir les stocker facilement.

La majorité des produits industriels, du chocolat du petit déjeuner au couscous du soir en passant par la soupe doivent leur goût à la compétence de chimistes. Les aliments raffinés et industrialisés n’apportent que des « calories vides ». On connaît le raffinage des céréales, des sucres, des huiles végétales ou du sel. Ces aliments ne contiennent pratiquement plus du tout de vitamines, d’oligo-éléments et d’enzymes naturelles qui sont des nutriments catalyseurs indispensables pour l’organisme. Il s’agit de nourriture morte, biocidique, dépourvue de toute énergie vitale.

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Le degré de transformation des aliments industriels influe sur la santé.

Depuis la domestication du feu, survenue voici plus d’un million d’années, qui a permis la cuisson des aliments, l’humanité a vécu trois autres transitions nutritionnelles majeures.

La première s’est produite voici environ 12 000 ans, quand nos ancêtres chasseurs-cueilleurs sont devenus agriculteurs-éleveurs, marquant le passage du Paléolithique au Néolithique. L’être humain s’est alors mis à consommer de façon plus massive céréales, produits laitiers et viandes d’élevage.

La seconde transition correspond à la production des premiers aliments industriels, au XVIIIe siècle, après l’invention de la machine à vapeur en Angleterre. Suite à la mise au point de l’appertisation, en 1795, la conserve en devient l’emblème.

Enfin, la troisième transition nutritionnelle a eu lieu dans les années 1980, avec le passage des aliments industriels aux aliments ultratransformés. Cette étape traduit une artificialisation croissante de notre alimentation : les aliments contiennent de plus en plus d’ingrédients ou d’additifs artificiels.

Cette dernière transition est concomitante de l’explosion des prévalences de maladies chroniques et la stagnation – voire parfois la baisse – de l’espérance de vie en bonne santé (qui est aujourd’hui, en moyenne, de 63 ans en France).

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L'histoire des additifs alimentaires a bien changé : naturels auparavant, synthétiques et nocifs aujourd'hui

L’histoire des additifs alimentaires est longue ; elle prit ses débuts dans la préhistoire, a continué dans toute l’Antiquité, a traversé le Moyen Âge pour finir aujourd’hui. Finir ?

Non, juste au contraire, le développement d’additifs alimentaires VRAIMENT dangereux continue son évolution (on pourrait nommer la nanotechnologie alimentaire). L’histoire des additifs alimentaires est loin d’être terminée  !

Dans cet article, faites un petit tour d’horizon sur l’histoire des additifs alimentaires et découvrez pourquoi aujourd’hui, ces molécules sont nettement plus néfastes qu’avant, pourtant utilisés depuis des millénaires !

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Produits naturels

Depuis les débuts de la recherche en nutrition en 1850, les chercheurs occidentaux qui se sont intéressés à l’alimentation et la nutrition humaine ont adopté une approche réductionniste. Autrement dit, ils ont considéré chaque aliment comme une somme de nutriments sans interaction les uns avec les autres. C’est juste le contraire d’une alimentation holistique.

Cette approche réductionniste, c’est-à-dire essayant d’expliquer la globalité par les parties, ne fonctionne pas. En effet, on ne peut pas, par exemple, espérer corriger de cette façon des maladies chroniques.

Partant de ce constat, une vision différente commence à émerger, consistant à considérer les aliments dans leur entièreté, c’est-à-dire selon une approche « holistique ».  Celle-ci peut être déclinée en pratiques alimentaires visant à protéger à la fois la santé et l’environnement.

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Huile d'olive

Dans la théorie, il est très bien possible d’ éviter les aliments raffinés. Malheureusement, dans la pratique, il faut élaborer quelques stratégies efficaces et rester bien vigilant pour ne pas tomber dans les nombreux pièges que les supermarchés nous tendent jour pour jour, avec l’aide de l’industrie agroalimentaire.

Tout d’abord, dans la mesure du possible, il faut tout simplement remplacer les aliments blancs et raffinés. En font partie la farine blanche, le pain blanc, les sucreries, le sucre blanc, les sodas etc. qui sont tous sans intérêt aucune pour notre santé. On remplacera ces produits industriels par leur équivalent complet et nutritif : pain complet bio, sucre complet, graines germées, huiles végétales vierges et extra-vierges, fruits et légumes bio, etc. On évitera également tout plat préparé, les surgelés préparés comme la lasagne ou les pizzas.

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Huile raffinée

Les huiles végétales, naturellement riches en acide gras et en vitamines, jouent un rôle important dans notre alimentation.

Les huiles de première pression à froid contiennent un concentré de bienfaits. Elles contiennent des vitamines A et E, des polyphénols, qui agissent comme des puissants antioxydants au même titre que la vitamine E, des phytostérols dont la structure est proche du cholestérol et qui empêchent la formation du « mauvais » cholestérol ainsi que d’autres substances précieuses tels les acides gras. Ces huiles vierges sont des sources importantes et précieuses pour notre santé, contrairement aux huiles raffinées qui sont des produits purement chimiques.

Le raffinage des  huiles végétales modifie les huiles vierges dangereusement. Ce procédé industriel les converti dans un produit artificiel sans aucun intérêt et néfaste pour la santé. L’huile végétale raffinée est à la source de nombreuses pathologies tant répandues de nos jours.

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Sel de l'Himalaya

Le sel, indispensable à la vie, se trouve dans tous les tissus vivants (animaux et végétaux) et dans l’eau de mer. Consommé en excès, il retient trop d’eau, favorisant ou aggravant les œdèmes et l’hypertension artérielle chez les sujets prédisposés.

Le sel raffiné est un produit issu du raffinage intensif du sel. Ce processus transforme un produit de composition très variée en minéraux et oligoéléments en un « produit chimiquement pur » (tout comme le sucre blanc) avec concentration en sodium, responsable des méfaits du sel, et incite à sa consommation en excès.

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Bien manger

Notre corps est le véhicule qui nous permet de traverser la vie, la nourriture est son principal carburant, d’où l’importance de la qualité des aliments ingérés.

L’alimentation joue un rôle fondamental pour la santé et le bien-être, autant que pour l’esthétique corporelle : nous sommes ce que nous mangeons, d’un point de vue physique, émotionnel, mental et spirituel. Et les aliments toxiques n’ont rien à chercher là-dedans ! Pourtant, ces aliments  toxiques sont partout dans toutes les assiettes : pesticides, hormones, herbicides, aliments ionisés, additifs, médicaments et antibiotiques, OGM … la liste est longue.

Que faire pour les éviter ou, au moins, pour diminuer drastiquement leur présence dans notre alimentation quotidienne ?

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Burger sain

En France, la consommation de fast food, mais surtout des hamburgers, explose.

Avec une cette progression sur le marché, on pourrait donc estimer que la qualité et la valeur nutritionnel des repas devient un facteur primordial et fondamental pour la restauration (rapide ou non). Surtout les grandes chaînes portent une responsabilité lourde concernant l’alimentation, l’environnement et le social.

Mais est-ce vraiment le cas, font-elles quelque chose pour la santé du consommateur ? Ou faut-il mieux éviter le fast food ? Que contiennent nos hamburgers vraiment ?

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